Trève de Beaujolais, c'est le Bourgogne que nous fêtons en 2007 chez

Bernard et Marie-Hélèèèèèèèèèèèèèèèène




Une fois encore nous voici rassemblés pour ne pas
fêter le Beaujolais Nouveau. Claire et Thierry nous
manquent mais nous boirons leurs verres
à la meilleure santé de Claire.

Dès l'apéro - Chablis évidemment - (et champagne
pour Marie-Hélène comme d'hab') nous entamons
mes andouillettes en croûte et ma petite chanson.

Les élégants calembours du refrain me valent
un franc succès... après les explications de texte !

Sur l'air de MON AMANT DE SAINT JEAN

Je sais bien pourquoi j'ai ramassé
Tous les ans ma musette.
Le « beaujo-marketing » m'a baisé
J'y ai goûté, j'étais volé.

Refrain

Comment ai-je perdu la tête
Pour cette boisson formatée ?
A l'assaut, Domi
Nous a entrainés
contre ce pinard frelaté :
« Pouah ! C'est dégoûtant
je vous propose un vin plus engageant,
Il est bourguignon,
C'est du tout bon,
Pas pour les cons ! »

Y'a deux ans nous avions essayé
La choucroûte et la bière.
C'était déjà sacrément gonflé,
Que fera-t-on à Pluvigner ?

Refrain

Puis on mit encor la barre plus haut
Avec les bit' de Sumo
Mais je crains qu'aujourd'hui soit plus chaud
Marie- Hélène est aux fourneaux


Dernier refrain

Comment ne pas perdre la tête
Cernés par ces vins délicieux
Ces crus de velours
Que l'on boit toujours
Avec des étoiles plein les yeux.
Vous qu'on aimait tant
Vosne-Romanée, Montrachet, Chambertin
Il faut nous quitter
Car l'an prochain
C'est du Bordeaux



Marie-Hélène avait poussé la délicatesse jusqu'à offrir de jolies petites poules à ses copines.

En entrée les escargots de bourgogne étaient incontournables.

Et le boeuf qui suivit ne pouvait être que bourguignon (made in Pen Prat).


Après que nous ayons réinterprêté en choeur toutes nos créations depuis l'an 2000, Jeanot a consenti à exécuter une nouvelle fois "L'homme à la moto" et c'est toujours un grand moment !

Tandis que nous nous égosillons Alain d'une main nous accompagne à l'harmonica et de l'autre compose une ode à nos hôtes.  Ca m'énerve, moi qui ne parvient pas à assurer plus de quatre verres à l'heure.

Sur l’air de Cadet Roussel,
chanson d’Alain du beaujolais 07
  1. Bernard a la têt’ dans l’frigo
    Marie-Hélène est aux fourneaux
    Le bœuf bourguignon se prépare
    Et nous on attaque le pinard

Ah, ah, ah oui vraiment
Les Le Falher sont épatants

2. On commence par les escargots
Et les andouillettes aussitôt
Et à la demande de Bernard
On a coupé la Pinot noir

Ah, ah, ah oui vraiment
Les Le Falher sont épatants

  1. Et pour échapper à l’ennui
    Il a sorti sa Côte de nuit
    Mais à mesure qu’on la picole
    La peau du palais se décolle

Ah, ah, ah oui vraiment
Les Le Falher sont épatants

  1. On a débouché l’Mercurey
    On a rempli tous nos godets
    Pour s’le mettre derrière la cravate
    xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxate

Ah, ah, ah oui vraiment
Les Le Falher sont épatants


L'an prochain on va à Port Haliguen
chez Phil et Régine
C'est sûr, y'aura des huîtres
Mais c'est quoi le Bordeaux qui va avec ?

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